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Comment communiquer

sur le climat ?

Les sciences cognitives
au service du climat

Cette formation est cruciale pour lutter contre la crise climatique.

En effet, elle souligne les lacunes dans la compréhension des enjeux climatiques et des impacts de nos choix quotidiens. Tout en mettant en évidence l’urgence d’une action rapide et efficace.

En simplifiant l’étude post-doctorale de Fatih Uenal, nous mettons ses recommandations à la portée des décideurs en durabilité et environnement, leur fournissant des outils concrets pour encourager des actions à fort impact. Ces vidéos se complètent pour offrir des solutions concrètes et inspirantes à tous ceux qui veulent agir face à la crise climatique.

Explorez nos références pour approfondir ces sujets et engagez-vous dès aujourd’hui pour notre planète.

les 4 axes de la formation

éduquer

motiver

s'engager

responsabiliser

éduquer

motiver

s’engager

Responsabiliser

ACTION !
Introduction

Pour relever les défis du changement de comportement et déjouer les biais cognitifs, une communication puissante est indispensable. Découvrez notre formation dynamique, composée de quatre vidéos captivantes, chacune dédiée à un pilier essentiel : éducation, motivation, engagement et responsabilisation. Ces ressources s’assemblent pour offrir des solutions concrètes et inspirantes à tous ceux qui souhaitent agir face à la crise climatique. Plongez dans nos références pour enrichir vos connaissances et rejoignez-nous dès aujourd’hui dans notre engagement pour sauver la planète.

Des liens pour en savoir plus sur l’impact
de nos comportements de consommation :

 
 
Carbon Footprint of Nations

Les gaz à effet de serre (GES) sont liés aux processus de production des biens et services que nous consommons au quotidien. Dans cette étude, les chercheurs ont analysé les émissions de GES associées à la consommation finale dans 73 pays et 14 régions du monde. Ces émissions varient selon ce qui est consommé et d’où cela provient. Les dépenses effectuées sont également liées aux émissions de GES.

Par exemple, pour chaque augmentation de 1 % des dépenses, les émissions augmentent en moyenne de 0,57 %. À l’échelle mondiale, environ 72 % des émissions de GES sont liées à la consommation des ménages, 10 % à la consommation publique et 18 % aux investissements. Parmi les différentes catégories de consommation, l’alimentation représente environ 20 % des émissions de GES, suivi par les dépenses liées à l’exploitation et à l’entretien des logements (19 %) et la mobilité (17 %).

Les habitudes de consommation varient selon le niveau de développement des pays. Par exemple, dans les pays en développement, l’alimentation et les services contribuent davantage aux émissions de GES. Tandis que dans les pays riches, la mobilité et les biens manufacturés deviennent plus prédominants avec l’augmentation du revenu.

Cette étude souligne l’importance de repenser les modèles de consommation et de développement pour réduire l’impact sur l’environnement. Elle met également en lumière la nécessité de prendre en compte les services publics et la production industrielle dans les politiques visant à réduire les émissions de GES.

 

It Starts at Home

 

Les ménages représentent 72 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, les plaçant ainsi au cœur de l’objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C selon l’Accord de Paris. Cependant, leur rôle potentiel dans les politiques climatiques n’est pas clairement compris et n’est pas suffisamment priorisé dans les stratégies actuelles.

Cet article explore comment un changement de comportement peut permettre une réduction significative des émissions dans les pays européens à revenu élevé, en s’appuyant sur des résultats clés du projet de recherche HOPE. Il souligne que la mobilité automobile et aérienne, la consommation de viande et de produits laitiers, ainsi que le chauffage sont les principaux contributeurs aux empreintes carbone des ménages. Les décisions des ménages, influencées par leur situation démographique et leur taille de logement, ont un impact considérable sur leur capacité à réduire leur empreinte.

Pour atteindre les objectifs climatiques ambitieux, des changements réglementaires sont nécessaires pour soutenir ces changements de comportement, car les efforts volontaires à court terme ne suffiront pas. Enfin, il souligne un désalignement entre les politiques climatiques actuelles et la perception de la responsabilité des ménages, concluant par des recommandations pour la recherche et les politiques futures.

 

Des exemples de campagnes d’actions
pour lutter contre le réchauffement climatique : 

 

ClimateActions

 

La campagne ClimateActions de My Blue Planet est une initiative interactive visant à encourager les individus à réduire leur empreinte carbone et à agir contre le changement climatique. Elle propose une application qui permet aux utilisateurs de calculer leur empreinte carbone personnelle, de fixer des objectifs pour réduire leurs émissions et de suivre leur progression au fil du temps. L’application offre également des conseils pratiques et des défis pour aider les participants à adopter des modes de vie plus durables. 

Le but ultime est d’encourager les citoyens à prendre des mesures concrètes pour réduire leur impact sur l’environnement et à contribuer collectivement à l’effort mondial contre le changement climatique.

 

Don’t Look Up

 

La campagne Don’t Look Up de Count Us In vise à mobiliser les individus du monde entier pour agir contre le changement climatique. Elle encourage les gens à signer un engagement en ligne pour réduire leur empreinte carbone en adoptant des actions concrètes dans leur vie quotidienne. 

Cette campagne met l’accent sur des mesures simples et pratiques que chacun peut prendre pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, comme la réduction de la consommation d’énergie à la maison, l’utilisation des transports en commun, ou le choix d’une alimentation à faible impact environnemental. 

Don’t Look Up s’efforce de mobiliser une large communauté de personnes engagées dans la lutte contre le changement climatique et de démontrer que chaque action individuelle compte dans la transition vers un avenir plus durable.

Notre dernière
apparition publique

Comment communiquer sur le climat ? Lundi 29 avril 2024, en collaboration avec l’Université de Genève, nous avons essayé de répondre à cette question.

Lors de cette soirée, le professeur Tobias Brosch nous a parlé de l’étude menée par Fatih Uenal puis, lors de la table ronde modérée par Jonas Schneiter, nous avons eu la chance de bénéficier de l’expertise d’intervenants et intervenantes de renom tel.les que Thomas Wagner de Bon Pote, la politologue Kari De Pryck, Julie Schnydrig Kettenacker du Service Agenda 21 de la Ville de Genève. Thomas Wiesel à clôturé la soirée avec un debriefing mémorable !

Nous remercions chaleureusement toutes les personnes impliquées dans l’organisation de cet événement ainsi que celles qui étaient présentes dans le public ! 
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